Profil

De son enfance en montagne, à la recherche des traces qu’aurait laissé un enfant abandonné, elle a gardé le plaisir de découvrir des formes dans les pierres, les arbres, les racines et de façonner des personnages. 

Dans la continuité de ses joies et bonheurs d’enfant, elle donne à voir dans son travail les traces - celles qui ne s’oublient pas - au plus près de la mémoire inconsciente, pour approcher des territoires secrets.  

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Alors qu’elle vient d’obtenir une maîtrise de psychopathologie, elle découvre l’expressionnisme allemand et français ; la peinture devient sa priorité. Elle expose à plusieurs reprises à Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Peinture en 1979, 1980 et 1981 et un 1er prix du Conseil Général de Seine Saint-Denis en 1982 la confortent dans cette voie. En 1984, elle devient membre de la Fondation Taylor. En 1989, la Fondation Hewlett-Packard acquiert une de ses peintures. En 2000, ses peintures illustrent le livre de Pierre Le Coz, « La ville est comme un puits », aux Éditions Voix d’Encre.  

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En 2001, une lésion de la rétine lui rend la peinture impossible. Forte de ses acquis dans la réalisation de décors pour le spectacle vivant, elle commence la sculpture. Elle installe son atelier - TERRA Rêve - dans un petit village d’altitude en Oisans. Elle est dans son élément pour poursuivre sa recherche sur les mémoires.  

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En 2016, dans le cadre de « Paysage /Paysages » organisé par le Département de l’Isère, elle expose des reliefs muraux et des sculptures inspirés des récits légendaires de l’Oisans. Elle participe au 1er Festival d’art singulier de La Bérarde « So ph’art away » en 2019, avec les artistes Margaux Salmi, Hubert Duprilot et Jaho.  

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Actuellement, son travail est visible à l’atelier-galerie « TERRA Rêve », à Villard Notre-Dame (38520) en Isère et sur le site 

« https://www.artistescontemporains.org/artistes/23812 ». 

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Marie-Claude Gallard est membre de l’ADAGP.